Tu n'avais pas dix ans, j'avais neuf ans à peine.
Whisky chapeau et foulard rouge
Aux
amours que j'ai vus naître.
Lors
de mes plus belles années.
Saurez
vous vous reconnaître.
Et
toutes ces phrases effleurer .
Femme
qui chante femme qui crie.
Que
m'importe je vous aime.
Femme
qui pleure ou femme qui rit.
Bien
sûr en restant discret.
Un
parfum de souvenirs.
En
dévoilant vos secrets.
Tu n'avais pas dix ans, j'avais neuf ans à peine.
Marie
Fernande, purée !!c'était le premier pas.
Ta
douceur et tes jeux, et ton sourire joyeux, je ne regrette pas.
D'avoir
été tenu, un moment en haleine, dans tes bras.
J'ai
dénudé des montagnes, avant de quitter l'Espagne.
J'ai
eu ton corps comme ombrage.
j'ai
pécher ou la chair pousse.
Imprégner
ton cœur et bouche
D'un
grand amour qui s'éloigne.
Dans
mes rêves quand je me couche.
Je
parcours les mêmes montagnes.
Puisque
mon cœur encore se soigne.
De
c'est amour qui m'éloigne.
Avant
de quitter l'Espagne.
Yézids
Mensonge et guerre
Les bombes du capitalisme,
ce sont les mêmes qui ont nourri.
Ces enfants dans la
misère, mangent le pain des ces pourris.
Le monde qu'ils veulent
construire, argent et gloire.
Tu ne comptes pas petite
dans leur histoire.
Que leur importe de
détruire, (familles entières).
Si leur fortune peut
grandir de cette misère.
Et malgré leur nourriture
blé d'Amérique.
Blé de Chine ou blé
d'Europe et non d'Afrique.
Toute cette aide
humanitaire, sort du même tique.
Riche à vomir, la même
filière d'or et de fric.
Le pouvoir et le mensonge,
guettent la guerre.
Mangez mes frères.
C’est triste ! nous
disent ces terroristes.
Mais
c’est le même capital qui alimente les jihadistes.
Le pétrole coule dans vos
veines de pourriture.
Regarde ce regard, ordure
!! ou banalise son aptitude.
Regarde ce regard, ordure
!! il traduit ta dictature.
Auteur: Juan Nuñez
Inscription à :
Articles (Atom)